Publié le 18/09/2018
Répétition du concert "Génial Mozart !"
Eglise Saint-Julien
Gratuit
Réservé aux étudiants détenteurs du PCE
Inscription impérative via ce lien avant le 25 septembre, sous réserve de places disponibles.
Messes, Requiem, concertos, symphonies, opéras, musique de chambre, en 36 années Mozart aura parcouru tous les chemins de l’Europe et de la musique.
Des chemins parsemés de chefs-d’oeuvre qui ne l’empêcheront pas de mourir misérablement, presque oublié. Ce concert qui lui est consacré, permettra de goûterl’émotion du 23ème concerto pour piano notamment le chant désespéré du mouvement lent. Le concerto pour clarinette a été écrit la dernière année de sa vie, dans une immense détresse matérielle, et pourtant, juste avant le Requiem, Mozart tient à célébrer la fraternité universelle.
Rarement donné en concert, l’air de concert « Ch’io mi scordi di te… Non temer, amato bene » (Que je t’oublie ?… Ne crains rien ma bien-aimée) est un dialogue entre le piano et la chanteuse, pièce écrite à l’attention de Nancy Storace qui créa le personnage de Suzanne dans Les Noces de Figaro. L’allusion est claire, c’est un duo entre Mozart au piano, qui ne masque pas ses sentiments, et une femme toute proche.
C’est l’époque où Mozart a pris connaissance des progrès techniques de la clarinette et où il s’est lié d’amitié avec Anton Stadler, grand virtuose, déjà dédicataire du Quintette K. 581. Le dialogue entre le chant et l’instrument réclame de la part des artistes technique et musicalité pour une complicité parfaite.
Des chemins parsemés de chefs-d’oeuvre qui ne l’empêcheront pas de mourir misérablement, presque oublié. Ce concert qui lui est consacré, permettra de goûterl’émotion du 23ème concerto pour piano notamment le chant désespéré du mouvement lent. Le concerto pour clarinette a été écrit la dernière année de sa vie, dans une immense détresse matérielle, et pourtant, juste avant le Requiem, Mozart tient à célébrer la fraternité universelle.
Rarement donné en concert, l’air de concert « Ch’io mi scordi di te… Non temer, amato bene » (Que je t’oublie ?… Ne crains rien ma bien-aimée) est un dialogue entre le piano et la chanteuse, pièce écrite à l’attention de Nancy Storace qui créa le personnage de Suzanne dans Les Noces de Figaro. L’allusion est claire, c’est un duo entre Mozart au piano, qui ne masque pas ses sentiments, et une femme toute proche.
C’est l’époque où Mozart a pris connaissance des progrès techniques de la clarinette et où il s’est lié d’amitié avec Anton Stadler, grand virtuose, déjà dédicataire du Quintette K. 581. Le dialogue entre le chant et l’instrument réclame de la part des artistes technique et musicalité pour une complicité parfaite.
Dirigé par l'Ensemble Palais Royal
Direction J.P. SARCOS
C. MERCIER (mezzo)
N. BALDEYROU (clarinette)
N. MALLARTE (piano)
C. MERCIER (mezzo)
N. BALDEYROU (clarinette)
N. MALLARTE (piano)
L'offre Les Moments Musicaux de Touraine pour les détenteurs du PCE
5€ le concert
Programme des 26 et 29 septembre 2018
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