Plongé au cœur de certaines œuvres de Bach mêlées à celles de compositeurs de musique minimaliste du XXe siècle, l’auditeur fait l’expérience d’une incroyable parenté entre des styles et des époques à priori éloignés, jusqu’à en oublier leur origine.

En collaboration avec l’artiste digitale Jemma Woolmore, La Tempête, qui a déjà offert deux concerts mémorables au public des Concerts d’automne, explore ici l’idée d’une traduction visuelle de ces dialogues minimalistes, à travers une installation de vidéo mapping dans laquelle est plongé l’orchestre.

« Les œuvres que j’entendais présenter devaient non seulement être mêlées, comme à notre habitude, mais comporter également une transcription visuelle, une sorte de partition universellement compréhensible, une peinture qui rassemble les clés de construction de ces œuvres et les images sonores qu’elles véhiculent» (Simon-Pierre Bestion).

La Tempête

Simon-Pierre Bestion | direction

Marianne Pelcerf | création lumières

Jemma Woolmore | création vidéo mapping et live

Louis-Nöel Bestion de Camboulas | clavecin solo

Guilhem Anglot | sonorisation